Une bouffée d’oxygène avant la tempête...
L’espace gazonné -pour ce qu’il en restait- entre le bâtiment H (celui de la mosquée) et le I, servait d’espace d’attente et de détente aux élèves avant d’entrer en cours d’arabe pour de longues heures, souvent interminables.
Parmi les quelques jeunes filles assises sur les blocs de béton contigus au logement de la famille Ferhi, on reconnait Chrifa Dilmi, Sakina Taïbi, Saadna et Mezouar.
Mais que pouvaient-elles se dire ?
Mohamed SELMET
------------
Pour tout commentaire posté sur cet article, la blogueuse ou le blogueur accepte et approuve de facto la charte du blog dans sa totalité. Veuillez vous référer à La charte de bonne conduite du blog si nécessaire.
A découvrir aussi
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 362 autres membres