La cité à l'épreuve des flammes
La vie en collectivité est souvent empreinte de joie, de gaieté et de bonheur partagés mais elle est aussi synonyme, parfois, de peines et de chagrins.
Parmi les drames qui ont marqué la vie de la cité, nous retiendrons les incendies qui se sont déclarés respectivement chez Benaniba (Bât I), Benfarès (Bât K) et Aarbia (Bât G, photo ci-dessous). Heureusement (sauf erreur de ma part), ces sinistres n'ont fait que des blessés.
Quelques soient les causes à l'origine de ces incendies, la légèreté des matériaux de fabrication condamnaient le bailleur à rendre tous les logements - composant les cages d'escalier sinistrées- improductifs. Les porches Benabida et Benfarès ont été rasés. Les espaces ainsi libérés étaient, pour les enfants que nous étions, autant d'espaces de jeu (piste cyclable, court de tennis, terrain de foot, jeu de marelle, saut à la corde...). Seuls les stigmates de l'incendie chez Aarbia ont perduré jusqu'à la démolition de la cité en 1985.
Sur ce cliché, ne reconnait-on pas la silhouette distinguée de Boutarfa Abdallah (en costume) ?.
Mohamed SELMET
A découvrir aussi
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 364 autres membres